
Yinka Shonibare CBE
Ballet God, 2015
Courtesy de l’artiste et de la Galerie James Cohan
Photo : Stephen White
Après un premier volet consacré à Bintou Dembeleet Robyn Orlin, voici le deuxième volet de la réflexion menée par Pénélope Dechaufour et Marine Roussillon sur les divertissements de cour sur la scène contemporaine : la journée d’études « Représenter le pouvoir, interroger les identités assignées » aura lieu le 14 juin à la Maison européenne des sciences de l’homme et de la société (Lille).
Au programme des réjouissances :
10h | ACCUEIL ET INTRODUCTION
10h30-12h | TROUBLER LES GENRES
Sarah Nancy (Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3) –
Baroque pride ? Enjeux d’une définition de l’opéra baroque par le « trouble dans le genre »
Pierre Longuenesse (Université d’Artois) –
Benjamin Lazar : une esthétique queer ?
13h30-14h45 | RACONTER D’AUTRES HISTOIRES
Marine Roussillon (Université d’Artois) –
Les corps noirs de Louis XIV
Julie Crenn (Critique d’art et commissaire d’exposition indépendante) –
Yinka Shonibare : épaissir le récit de l’histoire
15h15-16h30 | DÉCOLONISER LES CORPS BAROQUES
Samuel Watrelot (Université Polytechnique Hauts-de-France) –
Coup fatal ! d’Alain Platel, Serge Kakudji, Rodriguez Vangama et Fabrizio Cassol : le baroque ou l’art de sublimer les corps et la scène
Pénélope Dechaufour (Université d’Artois) –
Michael Jackson dans le sillage de Louis XIV
16h30-17h | ÉCHANGES ET CONCLUSION
+ Maison européenne des sciences de l’homme et de la société – Lille