EXPOSITION [COMMISSARIAT] /// LEAVE THE KIDS ALONE /// Galerie des Franciscains / Saint-Nazaire

LTKA Leave the kids alone  EPCC Angers – Le Mans – Tours Galerie des Franciscains – Saint-Nazaire 16 avril – 10 mai 2015 Julie Crenn

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Manon Alberger – Mathieu Archambault de Beaune – Laura Bottereau & Marine Fiquet – Emmanuelle Chevet – Arthur Chiron – Ladislas Combeuil – Louise Creuzeau – Fleur Fouque – Eva Houzard – Mehdi Largo – Maria Luz Le Doare Petit – Julie Maquet – Alexandra Riss – Thomas Wattebled.

++ Pendant le vernissage / une performance de Ruckus, groupe d’élèves de cinquième année de l’option Design mention Design sonore, site du Mans.

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Hey, teacher, leave the kids alone All in all it’s just another brick in the wall All in all you’re just another brick in the wall

Pink Floyd – Another brick in the wall (1979)

 Leave the kids alone rassemble quinze artistes en construction, quinze artistes en devenir. Entre les écoles d’Angers, du Mans et de Tours, j’ai rencontré une quarantaine d’étudiants, une quarantaine de pratiques toutes aussi différentes les unes des autres. Mon choix s’est porté vers des « coups de cœur », des œuvres qui m’ont interpellé, ému, fait rire, troublé. Des œuvres qui se font écho, leurs résonnances traduisent l’esprit protéiforme d’une génération. Si la formule peut paraître convenue, elle est sincère : je repose un espoir immense sur la jeune création qui se doit d’ouvrir l’art et de faire trembler le conformisme. Aussi, je ne leur souhaite pas de devenir une autre brique dans le mur, mais plutôt de le détruire ou bien de le contourner. S’il incarne l’idée d’une construction collective, d’une protection, le mur est aussi un élément séparateur, une barrière excluante, voire aliénante. Au mur, je préfère employer une métaphore chère à Edouard Glissant, celle de l’archipel : « La pensée archipélique est une pensée du tremblement, elle ne s’élance pas d’une seule et impétueuse volée dans une seule et impérieuse direction, elle éclate sur tous les horizons, dans tous les sens, ce qui est l’argument topique du tremblement. Elle distrait et dérive les impositions des pensées de système. »  (Traité du Tout-Monde – 1997)

J’envisage la création contemporaine comme un ensemble d’îlots (les artistes) qui communiquent entre eux au moyen d’un langage plastique, visuel, théorique et symbolique. L’exposition représente un moyen de les mettre en relation, d’élargir les discours et de produire de nouveaux territoires de réflexion. Contre le mur, vecteur d’un discours normatif, consensuel et confortable, l’archipel propose la déstabilisation, le bouleversement et l’expérimentation. Trois caractéristiques qui, à mon sens, sont essentielles pour un renouvèlement du champ de la création. Manon Alberger, Mathieu Archambault, Laura Bottereau & Marine Fiquet, Emmanuelle Chevet, Arthur Chiron, Ladislas Combeuil, Louise Creuzeau, Fleur Fouque, Eva Houzard, Mehdi Largo, Maria Luz Le Doare Petit, Julie Maquet, Alexandra Riss et Thomas Wattebled sont les îlots en construction d’un archipel futur, qui, je l’espère, sera nourri d’audace et de perspectives.

Julie Crenn

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——————————————————————————————————————– Hey, teacher, leave the kids alone All in all it’s just another brick in the wall All in all you’re just another brick in the wall 

Pink Floyd – Another brick in the wall (1979)

Leave the kids alone brings together 15 artists under construction, 15 artists in the making. I met forty students from Angers, Le Mans and Tours art schools, forty practices each one as different from the other. My choice was determined by what I liked, the works that beckoned or moved me, made me laughed or troubled me. Works with an echoing resonance conveying the protean spirit of a generation. The formula might seem conventional, but it is sincere: I place great hope on the creativity of the young who have to open art up and shake up conformism. I also don’t want them to become just another brick in the wall, but rather that they smash the wall or go around it. If a wall represents a collective construction, a protection, it is also a separator, a barrier which excludes, alienates. For wall I prefer to use a metaphor close to Edouard Glissant, that of the archipelago : “The idea of the archipelago is one of a tremor, it doesn’t hurl itself forward in one single and impetuous outburst, in a single imperious direction, it explodes onto all horizons, in every direction, as in the topical case of a quake. It distracts and diverts the imposition of systematic thought.” (Traité du Tout-Monde – 1997)

I see contemporary creation as a collection of small islands (the artists) which communicate between themselves through a visual, plastic, theoretical and symbolic language. The exhibition represents a way for them to connect with each other, to widen the discourse and to produce new areas of reflection. In contradiction to the wall, a vector for normative, consensual and confortable discourse, the archipelago suggests destabilisation, upheaval and experimentation. In my view three characteristic essential for the creative field to renew itself. Manon Alberger, Mathieu Archambault de Beaune, Laura Bottereau & Marine Fiquet, Emmanuelle Chevet, Arthur Chiron, Ladislas Combeuil, Louise Creuzeau, Fleur Fouque, Eva Houzard, Mehdi Largo, Maria Luz Le Doare Petit, Julie Maquet, Alexandra Riss et Thomas Wattebled are the small islands under construction in the future archipelago, who I hope will be inspired with courage and new perspectives.

Julie Crenn Traduction / Kate Blacker

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Manon Alberger / J’aimerais être Maya Deren

Maya Deren tient pour moi une place d’icône. Je peux m’identifier à elle par ses films. Elle m’offre des images qui me rendent forte, elles me réconfortent. Par la vidéo, je crée notre rencontre ; je déguise mon réel en fiction. Lier ses images aux miennes me permet de déplacer mon intime en archive, l’identité en identité fantasmée, la perte d’identité dans la relation amoureuse et l’amour perdu. (M.A.)

http://lemans.esba-talm.fr/2013/05/28/alberger-manon/

Mathieu Archambault de Beaune / mains écrain 4 retouche

L’objet est au centre de mon travail de sculpteur. Toutes mes constructions découlent de situations autobiographiques ou psychonautiques assimilées et réinterprétées dans une fiction animiste.

Cette somme de pathologies et de fantasmes se retrouve alors grossie au point d’intervenir dans le réel. Les éléments que je façonne sont d’abord autonomes et se composent comme un groupe de syllabes. Ils deviennent par la suite vecteurs d’assemblages édifiant l’objet sculptural comme un mot générant de multiples récits.

 « La sculpture c’est ce contre quoi on trébuche quand on veut reculer devant un tableau pour le regarder.» (Ad Reinhard)

Je réalise des gravures à l’eau-forte et des dessins opérant un contraste avec la matérialité de la sculpture, motivé par la volonté de faire et de représenter des choses dimensionnelles.

L’échelle humaine et le caractère préhensible de mes objets  me permet alors d’insuffler la fonction par la manipulation. Dans mon travail, j’éprouve le besoin de mythifier et de révéler le potentiel d’une idée, d’un objet pour fonctionnaliser la vie elle-même.

 «Fonctionnel» ne qualifie nullement ce qui est adapté à un but, mais ce qui est adapté à un ordre ou à un système : la fonctionnalité est la faculté de s’intégrer à un ensemble. Pour l’objet, c’est la possibilité de dépasser précisément sa «fonction» vers une fonction seconde, de devenir élément de jeu, de combinaison, de calcul dans un système universel de signes. » (Jean Baudrillard)

La notice découle de la fonction attribuée à un objet. Si elle est considérée comme un début de récit, alors toute chose a le pouvoir de devenir elle-même narrative.

Laura Bottereau & Marine Fiquet /  L&M JEU DE DAMME L’ennui des jeunes corps

Installation performative et évolutive accompagnée de 12 dessins.

Jeu de dames sérigraphié, peuplier. Dessins : encre de chine et feutres, 50 x 50 cm, 2014.

Engloutir l’autre pour engloutir et semer l’ennui.

Ici, l’ennui est déjoué, rejoué, mais tout dépend des volontés des Dames.

Ici l’espace et le temps sont enfermés, les actions suspendues et les Dames les libèrent.

Ici les règles du jeu sont dictées par les Dames. Elles nous attrapent, nous caressent, nous mangent ou nous rangent.

Assujetti à la répétition, l’ennui engloutit l’autre, l’ennui sème l’autre.

L&M partie4

 Les règles des Dames sont celles du jeu de Dames, le but étant de prendre ou de bloquer toutes les pièces de son adversaire. Une fois la partie terminée, chaque joueur retourne les pièces présentes sur le damier et y dévoile un chiffre. Chaque chiffre correspond à un mot répertorié dans l’Index. La liste de mots, ainsi que leur situation géographique sur la grille, présuppose alors une narration. Les joueurs se doivent de faire apparaître sur la grille de jeu la narration issue de leur partie. Cette narration sera traduite ensuite par un dessin au format 50 x 50 réalisé à quatre mains par deux Dames. (L.B & M.F.)

http://www.laurabottereau.com/

Emmanuelle Chevet /  KONICA MINOLTA DIGITAL CAMERA

Qu’il s’agisse de photographies argentiques ou d’installations usant de phénomènes optiques, j’expérimente le potentiel créateur des mécanismes mêmes des médiums que j’utilise. En intervenant à l’intérieur des processus de création, j’obtiens une image, indice de l’ensemble des manipulations nécessaires à sa réalisation. Les vraies découvertes sont alors celle qui transforment le banal, transportent, troublent ou désorientent. (E.C.)

http://lemans.esba-talm.fr/2012/05/30/emmanuelle-chevet/

 Arthur Chiron / Arthur Chiron 1

Manipuler un contexte, en explorer le contenu : ses failles, ses brèches, ses interstices. L’exploiter pour mieux le révéler, en déceler tantôt les potentialités, tantôt les aberrations.

Le champ d’investigation est vaste et multiple ou chaque moment de la vie peut faire l’objet d’une impulsion esthétique. (A.C.) + http://arthurchiron.com/

Ladislas Combeuil /  LADISLAS 1

L’Histoire, au sens large, est un fond mémoriel dans lequel nous puisons en vue de créer du nouveau. L’art est un système auto-référencé, « un jeu entre tous les hommes de toutes les époques. » (Marcel Duchamp).

En reprenant des éléments de l’Histoire, personnelle ou collective, je les réactualiser en les insérant dans un scénario différent pour leur donner une signification et un statut nouveau. Des chutes de médium de l’artiste Raphaël Zarka ayant servi à l’élaboration d’une sculpture deviennent ainsi des peintures (Déduction de Zarka), d’anciennes toiles personnelles repeintes en blanc sont ramenées dans le champ de la sculpture (Pensées pour moi-même). Il y a cette mise en tension permanente entre sculpture et peinture. En changeant les matériaux  de sculptures existantes avec ceux de la peinture, je ramène, en leur rendant hommage, ces formes dans le champ pictural (Broken Obelisk, Icosaèdre, Prismatique). (L.C.)

 Louise Creuzeau / LOUISE 3

Mon travail est une exploration du corps dans l’espace du sport. J’utilise principalement la vidéo et la photographie pour donner à voir une autre représentation du corps. Il apparaît souvent fragmenté, mais aussi dans toute son unité dans l’espace comme le gymnase par exemple. L’espace où le corps agit, concoure, se meut m’intéressent comme point de départ aux objets que je créé. La relation entre le corps et l’espace, le corps et l’objet existant dans certaines pratiques du sport m’intéresse. L’idée est de sortir du spectacle du sport pour arriver à recréer de nouveau corps, de nouveaux espaces, de nouveaux objets. (L.C.)

http://lemans.esba-talm.fr/2013/05/28/creuzeau-louise/

Fleur Fouque / Fleur2 Ten Jean's I

Ce projet contenant une vidéo performance et un objet performatif constitué de 10 jeans assemblés ensemble.

La performance consiste à faire enfiler/porter les jeans par dix personnes en même temps. Cette mise en mouvement simultanée implique un handicap, un mouvement restreint des corps. La difficulté démontre le déplacement des corps reclus dans un objet qui les bloque essayant de se déplacer dans un grand espace. Cette pièce est un détournement d’objets de grande consommation tel que les jeans. Il devient immettable lorsque l’on est seul, l’objet ne peut fonctionner seulement quand dix personnes l’activent. (F.F.)

Fleur 4

Le tube – 2015

A la fois sculpture molle et outil de mesure, il évoque les normes et les standards sans cesse rectifiés. La coupe des bouts de pantalon fait appel aux codes de la beauté, un rapport avec un état de la mode pour être dans les codes. Une dictature des normes.

Les bouts d’ourlet de jeans sont les restes des complexes laissés à chaque retouche sur les vêtements. Il est aussi un outil de mesure, qui utilise ces bouts comme des valeurs qui ne correspondent pas aux standards de l’image du corps. (F.F.)

 Eva Houzard /  Fountain

Fountain durée : 3 min

Pisser : geste primaire pour marquer son territoire ou exprimer son mécontentement et dans ces circonstances, réprimandé et punit. La musique, The Thieving Magpie (abridged) de Rossini, fait référence au film Orange Mécanique de Stanley Kubrick, satire de la société moderne où est posée la question du conditionnement psychologique comme arme pour contrôler les citoyens. Pour Fountain, qui passe ici en boucle sur son écran comme un seul programme télévisuel, l’esthétique du clip et le côté facile du sujet traité font écho à l’intense production de vidéos amateurs diffusées sur internet et à notre capacité décuplée de pouvoir se soulager sur tout librement, rejoindre un flux, laisser une trace, même éphémère. Eva Houzard a montré un point de vu subjectif sur l’action d’uriner sur différentes choses, sans complexes, sans autocritique. Fountain est un hommage à ces modes de production stimulant la créativité des gens et à la liberté de pouvoir pisser sur tout. (E.H.)

Mehdi Largo /  MEHDI 2

 J’ai été porté par ma condition sociale à faire des expérimentations questionnant la situation de l’immigré, mon environnement familial et spécialement les expériences de mon père. Cela me porte à mener un travail souvent intime, humoristique, incongru qui relève le goût de la fatalité.

Comment s’en sort un immigré en France ? Aujourd’hui je me focalise sur l’immigré que je suis, le rôle que j’ai à jouer dans le monde de l’art et dans la vie de tous les jours. (M.L.)

 Maria Luz Le Doare Petit / MARIA  Ce film est le témoignage d’un homme sur son rapport au temps, à l’espace, au corps, à la sexualité, à la douleur et à la mort. (M.L.L.D.P.)  

Julie Maquet / La Meute

Je détourne des objets communs en grande quantité, achetés en gros ou repêchés du fond des caves, qu’on pense sans valeur et sans âme. Mon but est de faire muter ces objets à travers un épuisant processus d’accumulation et de répétition, afin de fabriquer des corps ou des fragments de corps qui, dans leur croissance automatique, deviennent des vestiges, des formes de débris. Je propose des travaux à double lecture : en faisant muter des objets je donne naissance à des beautés monstrueuses qui partent en lambeaux, en souhaitant, qu’à travers leur dimension fantastique, chacun puisse y reconnaître ses peurs, ses fantasmes ou ses angoisses.  Parce que d’un point de vue plastique je préfère toujours évoquer et suggérer les choses pour mieux les montrer, on peut voir en ces créatures un miroir qui nous rappelle ce que nous sommes: humains, bancals et inexacts. Qui sont les vestiges, qui sont les débris ? Ainsi, les membres de « La Meute », que je présente à cette exposition, se déplacent tant bien que mal dans l’espace,  errent, avancent et se suivent fébrilement, droit dans le mur. (J.M.) 

http://juliemaquet.com/

Alexandra Riss / F

S’appuyant sur mon expérience sociale et familiale, je mets en place un langage artistique qui puise ses formes dans l’intimité et dans l’enfance. Par des médiums distincts (installation, photographie, sculpture, performance) je questionne les codes de constructions et de représentations du corps à travers la danse classique et certaines disciplines sportives. Je sollicite des objets, des espaces, des regards, une circulation des corps, comme moyen d’engager le spectateur au cœur d’un dispositif qui interroge sa perception. J’effectue pour cela un ensemble de transformations sur des objets appartenant au monde du sport – une activité soumise à de nombreuses règles aussi physiques que mentales, à une soif de compétition ainsi qu’à un désir constant de résultats. Je détourne et réorganise la fonction, le sens des objets. Ainsi inscrits à contre-courant de leur usage originel, ils suscitent de nouveaux contextes d’existences. (A.R.)

J

À un cheveu près Arranger ses cheveux Au poil Avoir la tête au carré Avoir mal au cheveux Avoir un cheveu sur la langue Avoir un poil dans la main Brosser dans le sens du poil Comme un cheveu sur la soupe Être coiffé sur le poteau Être de mauvais poil Être de mèche avec quelqu’un Faire dresser les cheveux sur la tête Il s’en est fallu d’un poil Reprendre du poil de la bête Saisir la chance par les cheveux Saisir l’occasion aux cheveux S’arracher les cheveux Se couper les cheveux en quatre Se crêper le chignon Se faire des cheveux blancs Se mettre à poil Se prendre par les cheveux Tiré par les cheveux Trois pelés et un tondu

RUCKUS /

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Ruckus est un groupe de musique électronique live fondé en novembre 2014 entre les murs de l’École supérieure des Beaux Arts du Mans.

Membres / Arnaud Ouin (noises) – Benoit Villemont (patterns aléatoires et basses) – Thomas Rotureau (basses et harmonies) – Maxime Neveu (drum machine et synthé) Chaque membre du groupe conçoit et développe son propre set instrumental à l’aide de machines électroniques. Ils sont tous tous reliés entre eux par un réseau local qui les synchronise dans le temps. Ils constituent ainsi -de par leurs individualités- les nœuds d’une trame invisible, collective et quadrangulaire. La musique qui en découle n’est plus un amas linéaire composé de sonorités posées sur et à côté des autres : elle est une matière fluide et malléable qui se distord selon des axes transversaux de partages. Les quatre musiciens opèrent au service d’une composition ondulatoire, progressive, étirée, tantôt contemplative, tantôt frénétique ou compulsive. Musique d’ordinateur, musique live, improvisation, sont tout autant d’éléments clés dans la définition du groupe qui se fait fort de proposer une expérience singulière, mue par la volonté de faire partager au public les secrets d’une matière informe et informatique. Le groupe aime à repenser l’espace traditionnel du concert en se plaçant au centre du public lors de ses performances. Le son est également lié à des projections vidéos permettant une visualisation graphique et lumineuse de la musique.

https://soundcloud.com/projetruckus

 Thomas Wattebled / THOMAS Bouquet Final_ twattebled

Décorations de ronds-points, slogans de supporters, appelants de chasse, mon travail prend sa source le plus loin possible de l’art, sur le terrain du loisir et des pratiques populaires. Je prélève des éléments ordinaires pour explorer leurs limites sémantiques. Je les transforme, les bouscule et définit un point de déséquilibre qui les ferait exister en autonomie.

Ces Manipulations prennent la forme de dessins, d’installations de vidéo ou documents photographiques. (T.W.)

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http://www.thomaswattebled.com/

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LEAVE THE KIDS ALONE

Plus d’informations / http://angers.esba-talm.fr/leave-the-kids-alone/

REVUE DE PRESSE /

http://www.saintnazaire-infos.fr/leave-the-kids-alone-une-expo-d-artistes-en-devenir-26-74-3253.htmlhttp://www.plastgrandouest.net/index.php?cat=1&page=8384&PHPSESSID=741fa07d4c0fdba87310d3dd1920c64fhttp://issuu.com/kostar/docs/kostar_45_issuuhttp://www.ouest-france.fr/aux-franciscains-lexpo-de-jeunes-artistes-3354674

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